Arrivees ce matin par God’s train express en les personnes de Joachim et Lydia, nous voici á un des endroits surement les plus tourisiques, il y a les portes de la mer ici, et finalement je decide de peindre ce Jesus gigantesque et le pont qui y méne. Ce soleil sur cet estuaire, une autre porte, d’autres portes, une ligne claire nous guide vers un infiniplus que lointain et il ne semble pas possible de marcher sur ce reflet de soleil. Nous suivont pourtant simplement le notre, guidéespar Sañ Antonio…du bonheur á Joachim et Lydia!

Accepter les epreuves, les souffrances comme autant de cadeaux et nous sauront aimé….

Merci de cette leçon qui nous sauva surement:

Ce qui nous reste.

 

Partie en tous sens, pas souvent pris la main dans le sac petit bout de rien sans sens se retrouve aussi sana sac.

Sans le sou et pourtant sucrées, pleine de vie et de seve…sucrés aussi les hules essentielles et autre sacs, de couchage ou pas, salée la note et douce a la fois.

Soudaine, subite mais pas subie. Disparition légère, allegeante et surement legitime, presque logique la farce.

Pas une larme pas une crise, seulement surprises, prises au depourvues, mais pas sens dessus dessous, sereines et suspendues suivant la route sans certitudes.

 

 

La vie continue comme si rien ne nous pesait plus 😉